Galaxina

Chronique du film « Galaxina »

Affiche Galaxina

Affiche Galaxina

Donc, Galaxina est un réel Ovni. Film space opéra cheap qui ne se prend pas une seule seconde au sérieux.

L’histoire commence ainsi :

En 3008, dans l’espace, la circulation des véhicules spatiaux est régulée par des vaisseaux de polices.

 

Un de ces vaisseaux, l’Infinity, reçoit une mission de la plus haute importance : retrouver l’étoile bleue, un minerai révolutionnaire qui révolutionnerait les sources énergétiques du monde de l’univers carrément.

Le capitaine permanente !

Le capitaine permanente !

Alors, l’équipe se prépare pour un long voyage (27 ans en hyper sommeil), en allant tout d’abord passer sa perm de 24 heures aux putes de l’espace.
L’équipe, parlons en :
Le Capitaine, mec complètement halluciné à la coiffure afro et la moustache 70′s qui déchire.

Maurice le mécano

Maurice le mécano

Deux mécano, Maurice, un noir à ailes et un chinois au proverbe facile.
Deux officier, un blond un peu con et  un brun complètement machiste de l’époque.

Galaxina l'androïde

Galaxina l'androïde

Galaxina, androïde femelle sexy qui commence à éprouver des sentiments pour le beau brun.

L’étoile bleu est repérée sur une planète qui abrite pas mal d’extra-terrestre et les enfants d’anciens bagnards de l’espace (qui étaient des bikers).

Arrivés sur la planète, rendez-vous est pris avec un contact dans un restaurant humain (où l’on sert le meilleur humain rôti), mais il apparaît que le contact à été invité « à dîner » mais l’étoile bleue est toujours là.

Le méchant Ordrik est là aussi, il s’empare de l’étoile bleue tandis que les enfants des enfants des bikers, qui prient le dieu Harley Davidson, enlèvent la belle androïde.

Malheureusement, Ordrik fini par faire prisonnier tout l’équipage, mais un évènement arrivé précédemment finira par tous les sauver, jusqu’à la prochaine fois.

Franchement, personnellement, j’adore ce film. On voit que l’équipe entière c’est amusé à le faire, les trucages sont cheap, les costumes aussi, l’esprit est à la grosse déconnade et vaut plus qu’un DARK STAR à la Carpenter.
De plus les blagues vaseuse et le générique de fin avec en fond sonore un capitaine gâteux et sénile vaux de l’écouter en V.O.

Aussi, ce film fait mal au cerveau, car quand vous en parlerez, vous ne pourrez vous empêcher de faire « HOUUUUHAAA! » après avoir dit « Blue Star ! ».

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